Hugo Cabret, de Martin Scorcese
Ce n'est pas en 3D mais en VO et au Méliès qu'on a vu ce film. Ce petit détail à son importance, vous comprendrez pourquoi en allant voir le voir. Et je vous conseille d'ailleurs d'y aller très vite car ça vaut le coup.
C'est un conte (de Noël ?), bourré de clins d'oeil au cinéma et à son histoire mais aussi à la littérature. J'y ai aussi retrouvé un peu de L'ombre du vent de Carlos Ruiz Zafon pour le côté fantastique (les critiques parlent des Mystères de Paris d'Eugène Sue) et une touche de Jean-Pierre Jeunet pour le côté féérique et tendre. Scorcese montre que depuis l'arrivée d'un train en gare de La Cieutat, malgré l'avènement des effets spéciaux et de la 3D, le cinéma n'a pas perdu son pouvoir magique.
Difficile d'en dire plus sans révéler l'histoire et je pense que ce serait dommage. Mais je peux vous dire que je suis sortie enchantée de la salle !
Ma note : 4,25 / 5