Arrens-Marsous, le col du Soulor et le Val d'Azun
Oui je ne fais pas qu'aller au cinéma, au boulot et à l'AMAP dans ma vie ! Je vais aussi m'aérer dans les Pyrénées !
Comme Pépé est en vadrouille sur les traces du national socialisme (c'est un anthropologue dans l'âme ce garçon), je n'avais pas de partenaire pour le ski de fond. Je ne sais pas pourquoi ce sport n'intéresse que les vieux, les espagnols, Pépé et moi. Question de génération ou de relation au franquisme ?
Du coup, j'ai fit une sortie raquettes avec le coach et une autre élève. Et pour changer, on a été de l'autre côté de la frontière béarnaise, en Bigorre, à la station du Val d'Azun ( link) : on a fait quelques kilomètres (désaccord entre la station et le GPS du coach quant au nombre exact de kilomètres : l'un des deux ment ...) sous un soleil voilé mais présent. On a croisé au moins 10 personnes et pique-niqué au sommet d'un mamelon (sans arrière pensée, Pépé, ne tinquiète pas ), face à une très belle vue ... Une très bonne journée qui se terminera comme il se doit par une raclette et une fondue chez le coach.
Encore une fois, les quelques photos que j'ai prises sont encore dans mon appareil dont je viderai peut-etre la mémoire un jour.
Note du 25 janvier :
Le coach vient de me faire passer le plan de notre balade. Il ne manque que la neige sur les estives !
Comme Pépé est en vadrouille sur les traces du national socialisme (c'est un anthropologue dans l'âme ce garçon), je n'avais pas de partenaire pour le ski de fond. Je ne sais pas pourquoi ce sport n'intéresse que les vieux, les espagnols, Pépé et moi. Question de génération ou de relation au franquisme ?
Du coup, j'ai fit une sortie raquettes avec le coach et une autre élève. Et pour changer, on a été de l'autre côté de la frontière béarnaise, en Bigorre, à la station du Val d'Azun ( link) : on a fait quelques kilomètres (désaccord entre la station et le GPS du coach quant au nombre exact de kilomètres : l'un des deux ment ...) sous un soleil voilé mais présent. On a croisé au moins 10 personnes et pique-niqué au sommet d'un mamelon (sans arrière pensée, Pépé, ne tinquiète pas ), face à une très belle vue ... Une très bonne journée qui se terminera comme il se doit par une raclette et une fondue chez le coach.
Encore une fois, les quelques photos que j'ai prises sont encore dans mon appareil dont je viderai peut-etre la mémoire un jour.
Note du 25 janvier :
Le coach vient de me faire passer le plan de notre balade. Il ne manque que la neige sur les estives !
Merci google earth !